
Experte des changements de vie, Anne vous aide à trouver des solutions pragmatiques pour pouvoir avancer quand, à la ménopause, les questions se bousculent, les malaises se succèdent et les décisions sont difficiles à prendre.
Auteure, conférencière, praticienne en PNL, hypnose eriksonienne et EMDR … Anne Boutelant est bardée de diplômes.
Elle ne revendique qu'une école :
"Celle de l'expérience"
Le mari qui part vivre ailleurs parce qu’il est mal dans ses baskets, je connais, l’envie de tout envoyer valser, je connais aussi. » C’est à 40 ans que cette business woman, mère de cinq enfants, décide de tourner la page pour donner un nouveau souffle à sa vie, avec du sens, cette fois : « J’ai commencé à me former en France puis aux USA dans la pratique des thérapies brèves qui permettent de se libérer du poids d’anciens traumas.» Depuis, sa pratique a conquis de nombreux adeptes. Pour Amenovia, elle propose de dispenser ses conseils aux femmes qui, dans cette période délicate, recherchent des solutions à un mal-être ponctuel ou plus diffus.

A chaque problème, sa solution
« Il y deux types de femmes ménopausées, explique Anne Boutelant. Il y a celles dont la ménopause a été précoce, suite à une maladie, des traitements, un choc psychologique et celle dont la ménopause correspond à la moitié de la vie : départ des enfants, départ du compagnon, maladies des parents, plafond de verre au travail, mauvaise image de soi … ».
La façon d’aborder la ménopause dépend alors du ressenti de chacune.
Après avoir identifié les problèmes (qui ne sont pas toujours ceux que l’on croit), Anne Boutelant recommande des outils adaptés : EMDR, PNL ou Hypnose. « Les bouffées de chaleur et les problèmes de sommeil par exemple se traitent par l’hypnose. En revanche, l’acceptation de son corps va plutôt passer par l’EMDR ».
Changer de vie mais pas à n’importe quel prix
Quant à tourner définitivement la page … « Il faut au départ se poser la bonne question : Vous ne supportez plus telle situation, mais que voulez-vous à la place ?
Il est toujours plus facile d’identifier ce que l’on ne veut pas. Or, savoir ce que l’on veut permet de temporiser et de réfléchir. C’est pour ça que la vision d’un tiers est souvent bénéfique ». Une décision radicale, de rupture par exemple, peut s’apparenter à une fuite. La solution réside peut-être ailleurs… Il est nécessaire d’en parler !
Vous pourrez retrouver Anne prochainement pour des conseils plus détaillés (suivez-vous sur Facebook et Instagram pour vous tenir informées des rendez-vous !).
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