Pour se réconcilier avec son corps et retrouver l’estime de soi, la méthode de Lizette Scialom, experte en nutrition holistique, repose sur une approche corps/esprit qui prend en compte la diététique et la psychologie du comportement alimentaire. Et ça marche !
Les femmes dans leur grande majorité se plaignent d’une prise de poids à la ménopause et ce n’est pas une simple vue de l’esprit.
Premier facteur, le métabolisme de base (l’énergie dépensée au repos qui permet de maintenir le fonctionnement des fonctions vitales) diminue de 200 kcal en moyenne/jour. Deuxième facteur, la baisse des estrogènes, qui s’accompagne d’une augmentation de la masse grasse dans la partie supérieure du corps : on stocke autour des épaules, des bras mais aussi et surtout du ventre. La silhouette se transforme et l’aiguille de la balance penche vers la droite…
Face à ce constat, Lizette Scialom, diplômée en Mind body nutrition et spécialiste du microbiote intestinal, nous encourage à rester zen et …à ne pas suivre de régime.
"Notre état de bien-être joue sur nos hormones"
Il y a une relation entre les émotions, la biologie et les choix alimentaires, explique-t-elle. Pour parvenir à recréer cet équilibre, savoir qui vous êtes m’intéresse tout autant que ce que vous mangez ».
Pour Amenovia, elle délivre les clés de sa stratégie en trois points.
Action n°1 : Réduire la glycémie pour perdre du ventre
A la ménopause, « nous développons une légère insulino-résistance et notre corps va se mettre à stocker la graisse abdominale ». La stratégie consiste à réduire la consommation de sucres rapides et à augmenter la quantité d’aliments à index glycémique bas. Bonus : en rééquilibrant la glycémie, l’humeur se régule et adios irritabilité et grosse fatigue !
Action n°2 : L’exercice physique pour gagner du muscle
L’activité physique accélère le métabolisme de base. Et comme nous avons gagné en énergie depuis que nous avons régulé notre glycémie (voir Action 1), nous allons en profiter pour développer notre masse musculaire au détriment de la masse graisseuse, la meilleure des préventions contre l’ostéoporose et les maladies cardio-vasculaires.
Action n°3 : Chasser les pensées négatives et le stress de son alimentation
Quand nous avons des pensées négatives, l’organisme sécrète les hormones du stress (cortisol et adrénaline principalement) qui agissent sur la digestion et la prise de poids. Il est donc recommandé de rester positif mais aussi de se prémunir des facteurs de toxicité dans l’alimentation (junk food, métaux lourds dans les poissons gras, sodas, excès de viande rouge etc…) qui stressent l’organisme.
Nous développerons et détaillerons tous ces conseils très prochainement (suivez-vous sur Facebook et Instagram pour vous tenir informées des rendez-vous !).